le sapin fait partie de cette famille d arbres

4 Utilisez une application d'identification des arbres. Elles pullulent, mais certaines sortent du lot, comme Pl@ntnet. Le principe est simple : vous photographiez avec votre ordiphone une feuille, un fruit, une écorce, une fleur et l'application vous donne le nom de l'arbre et bien d'autres renseignements. Voustrouverez ci-dessous la(les) réponse(s) exacte(s) à LE SAPIN FAIT PARTIE DE CETTE FAMILLE D ARBRES que vous pouvez filtrer par nombre de lettres. Si les résultats fournis par le moteur de solutions de mots fléchés ne correspondent pas, vous trouverez une liste de Lesapin artificiel: il faut le garder pendant une période d’au moins 20 ans pour amortir son empreinte écologique, comparativement au vrai sapin. Si on ne regardait QUE les émissions de CO2 pour notre choix, il est intéressant Unsapin de Noël est un arbre décoré pour Noël. En un demi-siècle, la production a été quadruplée pour atteindre quatre millions d’arbres. Quatre arbres de Noël sur cinq partent pour l’exportation, essentiellement dans les pays voisins et en Italie. Un sapin ardennais parcourt, en moyenne, un millier de kilomètres [29] [source insuffisante]. Canada et Québec. Au Canada, Lesservices techniques ont tronçonné une partie du tronc. Ce sapin, qui est resté dix ans dans le jardin d’Isabelle Velé et de sa famille, nonton true to love sub indo bioskopkeren. L’arbre de Noël de Vilnius vient d’être illuminé, et comme de nombreuses années, l’impressionnant arbre de Noël de la capitale lituanienne attire l’attention des amoureux des fêtes. La capitale lituanienne a officiellement commencé la saison des fêtes en illuminant son sapin de Noël de Vilnius, entièrement responsable. Considéré comme l’un des plus beaux d’Europe, la capitale de la Lituanie a une fois de plus attiré de nombreux touristes grâce à ses sapins de Noël magnifiques et uniques. Cette année, l’arbre décoré ressemble à la reine du jeu d’échecs du XIVe/XVe siècle, qui avait été découvert par des archéologues en 2007 lors des fouilles archéologiques menées autour du palais ducal. La partie médiane de cette pièce est sculptée de motifs géométriques et surmontée d’ornements floraux. Selon les historiens, le jeu d’échec a été joué par la noblesse du Grand-Duché de Lituanie à la fin du XIVe siècle. Le sapin de Vilnius est entièrement durable, fait de constructions métalliques de 27 mètres de haut et d’environ 6000 branches. Toutes les branches ont été ramassées des arbres par les forestiers lors de l’entretien général de la forêt. Arbres et branches, ne sont donc pas coupés uniquement pour le spectacle. Les arbres féériques de Vilnius sont un spectacle à part entière, et l’organisation de voyages européenne Best Destinations, basée à Bruxelles, a récemment désigné l'arbre de Noël de Vilnius comme le plus bel arbre d'Europe, sur la base des attentes de plus de 14 000 voyageurs de 82 pays. Quant au marché de Noël traditionnel aménagé autour du sapin, il est tout aussi attrayant que celui qui est situé sur la place de la mairie. Les marchés sont ouverts du 30 novembre au 7 janvier et entre les stands d’artisanat local et les chalets de spécialités culinaires, c’est une destination phare pour les fêtes de Noël ! Chocolat ou vin chaud accompagneront vos friandises préférées. Retrouvez les autres destinations parfaites pour la période de Noël. Les arbres les plus hauts du monde ne dépassent guère les 100 mètres. Mais qu'est-ce qui les empêche de grandir indéfiniment ? Voici pourquoi vous ne verrez jamais un sapin de 200 à un humain, l'arbre connaît une croissance continue tout au long de sa vie. C'est d'ailleurs en mesurant son nombre de cernes que l'on peut calculer son âge la méthode de datation est la dendrochronologie. L’arbre le plus grand, un séquoia à feuilles d'if Sequoia sempervirens, grandit ainsi de 25 cm par an en moyenne. Pour autant, le plus haut spécimen connu mesure 115,55 mètres et l'on n'a jusqu'ici jamais trouvé d'arbre dépassant les 120 de l’arbre plus il est grand, plus il risque l’emboliePour transporter l'eau et les nutriments depuis les racines jusqu'aux feuilles, l’arbre utilise deux mécanismes l’évapotranspiration, qui aspire les molécules d'eau vers les feuilles, et la capillarité. La sève brute circule dans les trachéides, des cellules mortes qui possèdent des valves pour faire circuler l'eau vers le haut. Or, plus l'arbre est haut, plus la pression diminue à l'intérieur de ces trachéides en raison de la gravité. Lorsque la pression est trop faible, l'arbre risque un phénomène de cavitation appelée embolie du xylème », c'est-à-dire la formation de bulles d'air dans les vaisseaux qui empêchent le passage de la se prémunir de cette cavitation, l'arbre réduit la taille des trachéides dans les parties hautes pour augmenter la pression dans les cellules. Mais ce rétrécissement a un prix moins d'eau parvient jusqu'aux feuilles, lesquelles, en conséquence, réduisent leur photosynthèse et donc la croissance et l'évapotranspiration. Au-delà d'une certaine taille, les cellules sont tellement étroites que plus aucune goutte d'eau ne parvient aux branches qui dépérissent et arbres les plus hautsUne étude publiée dans la revue Nature en 2004 estime que la taille maximale d'un séquoia géant est ainsi limitée à 122 ou 130 m. Une autre étude de 2008 publiée dans PNAS porta sur le sapin de Douglas, l'un des autres conifères pouvant atteindre des tailles record ; celui-ci parvient à une hauteur maximale théorique de 138 mètres entre 131 m et 145 m en prenant en compte la marge d'erreur. Le plus haut sapin de Douglas connu, situé à Coos County, dans l'Oregon États-Unis, mesure aujourd'hui 99,7 m. Le Centurion, dans la vallée de l'Arve, en Australie, est lui le plus grand eucalyptus vivant et mesure 99,8 m de 15 arbres remarquables à protégerLe chêne d’Henri IV dans le Tar-et-Garonne Dans les traditions populaires, on retrouve souvent nos vieux arbres comme compagnons provisoires d’un héros de l’histoire de France. Saint Louis rendait la justice sous un chêne, Jeanne d’Arc priait près d’un tilleul et Napoléon observait les champs de bataille depuis des points de vue ornés d’un grand arbre servant de repère. Près de la commune de Merles, dans le Tarn-et-Garonne, une fontaine abreuva en 1579 le bon roi Henri IV, de passage sur ces terres. Le gros chêne, qui domine le site, accueillit-il le Vert-Galant pour un repos réparateur, on peut l’imaginer. Toujours est-il que le chêne est depuis longtemps appelé au pays le chêne d’Henri arbre est un chêne pédonculé, appartenant à la famille des Fagacées, présent dans tout l’hémisphère Nord mais préférant les altitudes inférieures à mètres. Ce Quercus robur, chêne robuste, peut dépasser les 40 mètres de hauteur et son envergure est tout aussi impressionnante. Il vit gaillardement jusqu’à 500 ans et peut atteindre le millénaire. Le bois de chêne est un matériau majeur dont les qualités sont remarquables en charpenterie, en menuiserie, en tonnellerie ; évidemment, il est incontournable en ébénisterie. C’est un bois de cheminée qui chauffe bien et se consume lentement. Ses fruits, les glands, nourrissent les cochons et les sangliers. Autrefois, les tanneries récupéraient les écorces pour le tannage du cuir. Enfin, la sciure de chêne a fait les beaux jours de l’industrie papetière.© Georges Feterman, Futura L'Érable de Montpellier dans les Deux-Sèvres La belle forêt de Chizé, établie non loin de Niort, réserve quelques belles découvertes aux visiteurs. Elle abrite notamment l’un des rares parcs animaliers, le Zoodyssée, entièrement dédié à la découverte et à la connaissance des animaux des forêts françaises, des cervidés aux sangliers, des petits mustélidés belettes, martres, etc. aux grands prédateurs européens, tels le lynx ou le loup. La particularité écologique du massif de Chizé réside dans la présence des hêtres, préférant les climats plutôt froids et humides, alors que le climat niortais ou poitevin est d’une grande douceur. C’est justement un arbre du sud, aux exigences opposées à celles du hêtre, qui attire l’attention, à quelques centaines de mètres du parc animalier, dans le village de en question est un érable de Montpellier aux dimensions exceptionnelles 3,45 mètres de circonférence, dont le port est d’une grande régularité et d’une belle esthétique, au milieu d’une prairie. Son âge est difficile à estimer, mais de telles dimensions pour un arbre qui, dans notre pays, reste plutôt à l’état d’arbuste laissent présager un âge de plusieurs centaines d’ érable est une énigme, tant par son envergure que son âge improbable car c’est un arbuste généralement de petite taille, à l’état naturel d’en moyenne 5 mètres, et de 10 mètres, s’il est cultivé. Et sa longévité n’excède pas 150 de Montpellier Acer monspessulanum L. est un arbre de la famille des le trouve dans le pourtour méditerranéen, dans la garrigue méridionale, ou sous les climats aux hivers doux. En automne, il se distingue de façon spectaculaire par les couleurs éclatantes de son feuillage, rouge et or.© Georges Feterman, Futura Les platanes du Musée Pétrarque dans le Vaucluse La jolie commune de Fontaine-de-Vaucluse, installée au bord de la Sorgue, est fière de ses deux célébrités. Le poète Pétrarque y vécut au XIVe siècle, déployant son talent dans ce vallon béni des dieux. Mais la plupart des visiteurs viennent pour admirer la résurgence qui, sortant en flots irréguliers du pied de la falaise calcaire, alimente la rivière Sorgue d’une eau pure, sortie d’un réseau souterrain en visite dans le village provençal, il ne faut pas oublier de pénétrer, par un discret passage couvert, dans le jardin du musée Pétrarque. Six platanes monumentaux semblent y danser une folle sarabande, les branches disposées vers le haut, comme pour faire la ronde. Leur âge est estimé à 200 ans, et leur disposition laisse entrevoir un choix esthétique du créateur du jardin. Dans celui-ci, d’autres arbres provençaux attirent également l’attention. Après cette visite horticole, celle du musée Pétrarque s’impose, pour connaître les liens entre le poète et le en France en 1660, le platane fait partie de la famille des Platanaceae, qui comprend une dizaine d’espèces, la plus répandue étant celle d’un hybride, le platane commun Platanus acerifolia, issu du croisement d'un platane d'Occident Platanus occidentalis, originaire des États-Unis, avec un platane issu d'Asie Mineure et des Balkans Platanus orientalis. Sa silhouette aérienne nous est familière. On rencontre le platane le long des routes, son tronc poussant bien droit est idéal pour constituer des allées rectilignes ou orner les places de villages. Il tolère bien l’environnement urbain dont il supporte la pollution. D’une croissance rapide en sol profond et humide, le platane peut atteindre 30 mètres de hauteur. Il supporte bien la taille sévère d’où sa présence aussi en ville. Apprécié aussi son bois clair, dur et solide, c’est un matériau intéressant pour l’ébénisterie, d'une combustion propre.© Georges Feterman, Futura Le hêtre monumental du Tarn La montagne Noire doit son nom à l’impressionnante couverture forestière de ses sommets granitiques arrondis. En liaison avec la rudesse du climat, deux essences se taillent la part du lion le sapin et le hêtre. Quelques vieux sujets ont échappé à l’exploitation forcenée du XIXe siècle, destinée à fournir du bois aux multiples petites industries installées dans les vallées. L’un d’entre eux dresse sa fascinante silhouette près des ruines de la chapelle de Saint-Jammes de Bezaucelle, sur la commune de Sorèze. Sa circonférence de 6 mètres fait de lui le plus gros arbre de la montagne Noire, laissant imaginer un âge de plusieurs centaines d’ le chêne et le châtaignier, le hêtre Fagus sylvatica appartient à la famille des Fagacées. C’est un arbre élancé, qui peut atteindre 30 à 50 mètres de hauteur, surtout développé en Europe centrale, en plaine et en montagne. Le plus spectaculaire est sa variante, le hêtre pourpre, bel arbre d’ornement, d’une très grande élégance. De rares sujets, millénaires, ont été repérés dans la Marne ; cet arbre s’est adapté aux variations climatiques depuis la nuit des temps, des feuilles fossiles attestant sa présence sur Terre depuis au moins cinq millions d’années. D'un blanc rosé, lourd, dur et homogène, son bois est excellent pour les travaux de menuiserie et d'ébénisterie, ainsi que pour le chauffage.© Georges Feterman, Futura Le platane du château de la Bûcherie dans l’Oise Caché dans le parc du château de la Bûcherie, qui se visite au moment des journées du patrimoine, un gros platane d’Orient émerveille tous ceux qui ont la chance de l’approcher à cette occasion. Ses dimensions exceptionnelles 8,30 mètres de circonférence font de cet arbre un des géants d’Île-de-France, qui pourrait approcher les 500 ans. Certaines de ses branches charpentières sont si lourdes qu’elles reposent naturellement au sol, tentant de marcotter, et donc de s’enraciner, comme savent le faire les Platanus Orientalis a reçu le label d’arbres remarquables par l’association ARBRES. Planté sous Louis XIV, ce bel arbre a une circonférence de 8,30 mètres, une hauteur de 38,40 mètres, avec une emprise au sol Le platane peut avoir une longévité exceptionnelle pouvant aller jusqu’à ans. Introduit en France en 1660, il fait partie de la famille des Platanaceae, qui comprend une dizaine d’espèces, la plus répandue étant celle d’un hybride, le platane commun, issu du croisement d'un platane d'Occident Platanus occidentalis, originaire des États-Unis, avec un platane issu d'Asie mineure et des Balkans Platanus orientalis.© Georges Feterman, Futura Le cèdre pleureur des Hauts-de-Seine Il y a 150 ans, le pépiniériste, Gustave Croux observa, dans ses jardins de Châtenay-Malabry 92, un bien étrange cèdre dont les branches retombaient vers le bas. Lorsque survient ainsi ce que l’on appelle aujourd’hui une mutation », deux possibilités s’affrontent. La première consiste à éliminer cet arbre laid et bizarre, qui a la mauvaise idée de retomber vers le sol au lieu de se diriger vers la lumière. Le pépiniériste considéra au contraire, deuxième possibilité, que ce variant génétique pouvait avoir un avenir commercial, séduisant les jardiniers par sa forme originale, ce qui se vérifia largement par la suite. L’arbre originel » est toujours vivant, devenu au fil des temps une merveille végétale, occupant largement l’espace dans l’arboretum du parc de la Vallée-aux-Loups 92. À Orthez 64, un autre cèdre pleureur extraordinaire lui fait concurrence par sa beauté et l’originalité de son tronc cèdres sont des conifères de taille imposante de la famille des Pinacées, originaires du Moyen Orient, d’Afrique du Nord et de l’Himalaya. Ce Cedrus atlantica Glauca Pendula photo est une sous-espèce du cèdre de l’Atlas, lui-même sous-espèce du cèdre du Liban. Ce Cedrus libani se reconnait par la forme tabulaire au sommet qu’il prend à sa maturité. Il figure sur le drapeau du Liban dont il est l’emblème. Le cèdre du Liban s’est acclimaté en Europe où il a été introduit en 1650. On peut toujours admiré celui qui s’épanouit au jardin des Plantes, à Paris, et qui n’était en 1734, qu’un jeune plant ramené par le botaniste, Bernard de Jussieu. Quant au cèdre de l’Himalaya, il se reconnaît par sa cime conique et ses branches retombantes lui donnent un aspect pleureur. Présent sur Terre depuis la nuit des temps, le cèdre était déjà utilisé par les Égyptiens pour les sarcophages, son bois est quasiment imputrescible, très odorant, et son huile essentielle possède de multiples propriétés.© Georges Feterman, Futura Les cormiers du Bas-Rhin La commune alsacienne de Marmoutier, blottie aux pieds des Vosges, tente de préserver un patrimoine arboré exceptionnel. Même si de nombreux cormiers ont malheureusement disparu, remplacés par une agriculture dévorante, il reste encore beaucoup de ces vieux arbres, 36 exactement, autrefois rassemblés en vergers de production. L’un d’entre eux est particulièrement spectaculaire, dépassant les 3,50 mètres de circonférence et les 250 ans d’âge. L’utilisation des fruits distillés pour produire du schnaps ne permet pas d’expliquer les nombreux cormiers autour de Marmoutier. Il est probable que le bois de cormier a servi pour les tablettes d’imprimerie des moines de l’abbaye voisine, qui s’étaient spécialisés dans cette activité. Une association locale, Le bonheur est dans le pré », agit au quotidien pour préserver ce riche patrimoine cormier, en raison de ses dimensions, de sa taille et de sa grande beauté, a été labellisé Arbre remarquable de France », en 2016. Le Cormier ou Sorbier domestique Sorbus domestica L. est un arbre de plus en plus rare, il est considéré comme une espèce en danger en Suisse et en Autriche. Il fait partie de la famille des Rosacées. Contrairement au sorbier des oiseleurs, cet arbre est une espèce méridionale, originaire du Sud de l'Europe puis, qui s’est dispersée dans le reste de notre continent sous la Rome antique. Autrefois, le cormier était cultivé en tant qu'arbre fruitier, ses cormes étant particulièrement appréciées. Les Romains les faisaient fermenter pour en tirer une boisson ressemblant au cidre. Son bois, très dur et au grain compact, est employé pour réaliser des gravures et dans la fabrication des manches d’outils et des outils de traçage.© Georges Feterman, Futura Les vieux ifs de la Manche La tradition des ifs funéraires trouve, dans le département de la Manche, son plein épanouissement. Beaucoup de cimetières paroissiaux, tous situés près de l’église du village, possèdent un vieil if, parfois millénaire, témoin de rites ancestraux où l’arbre était planté sur la tombe des notables, bien avant la christianisation de ces lieux de peut se faire une idée de l’âge de ces arbres vénérables en s’appuyant sur le fait que les ifs grossissent mais ce n’est qu’une moyenne d’environ 1 mètre par siècle. Un if de 10 mètres de circonférence approche ainsi le millénaire ! Citons quelques vedettes, perdues entre pays de Vire et Cotentin. À Brix et Montgardon, les ancêtres ont beaucoup souffert, tandis qu’à La Lucerne-d’Outremer, Nicorps et Le Chefresne, ils se portent assez bien. Le plus vieil if du département est sans conteste celui de Saint-Ursin. Entièrement creux, son tronc de 9,3 mètres de circonférence protège les enfants contre les maladies !Souvent considéré comme un résineux, l'if Taxus baccata fait partie de la famille des Taxacées. Il mesure entre 8 et 10 mètres, de croissance lente, mais certains sujets ont atteint des hauteurs d’environ 15 mètres et pour certains, l’âge vénérable de ans. D’allure trapue et d’un port arrondi, son bois est souple, utilisé autrefois pour la fabrication des arcs. Mais ce que l’on aime plus chez cet arbre, ce sont les réalisations, comme avec le buis, de topiaires qui donnent du rythme et de la vie aux jardins à la française.© Georges Feterma, Futura Les tilleuls de l'abbaye de Noirlac dans le Cher Ils sont 29, âgés de 300 ans, formant une allée majestueuse dans le parc de l’abbaye cistercienne de Noirlac. Tous ces tilleuls magnifiques ont été probablement taillés en même temps, car ils forment une voûte homogène derrière l’abbaye. En parcourant la nef austère et rigoureuse de l’édifice, soutenue par d’énormes piliers romans, on est saisi par la similitude entre son aspect et celui de l’alignement de tilleuls, rythmé par les troncs imposants des arbres chaque arbre n’appartient pas à la famille restreinte des plus vieux arbres de France, mais l’alignement est incontestablement l’un des plus anciens de notre pays. Il est souvent difficile de conserver dans son intégrité un tel ensemble, et le renouvellement s’impose alors comme une nécessité. Si vous passez par Noirlac, recueillez-vous et priez pour que ce bel alignement demeure longtemps encore respecté dans son n’a pas en mémoire un tilleul et son parfum au printemps ? Ce tilleul à grandes feuilles Tilia platyphyllos est un grand arbre faisant partie de la famille des Tilliacées. Il mesure entre 30 à 40 mètres, son cycle de vie peut aller jusqu’à ans ! Poussant dans les régions tempérées d’Europe, il fut longtemps l’arbre du centre des villages, en France comme en Allemagne. Le tilleul est multi-usage employé pour la petite menuiserie, recherché pour ses infusions et pour son miel, apprécié pour ses propriétés émollientes sur la cousin, le tilleul à petites feuilles, Tilia cordata, poussant lui à l’état spontané, fut choisi en France pour incarner les valeurs de la République à la Révolution française.© Georges Feterman, Futura Le cade tourmenté de l’Aude Difficile de donner un âge à ce vieux genévrier, perdu dans la garrigue du pays des Corbières. Quand il vit le jour, il y a plusieurs siècles, le paysage devait être bien différent autour de lui. La patte » de l’homme marquait beaucoup plus les paysages ruraux, dans lesquels chaque parcelle était cultivée. Il y a désormais moins de monde dans les campagnes, et le vieux cade pourrait le raconter. Il cache son tronc tourmenté au milieu des garrigues, prospérant sur un sol maigre et calcaire. Selon les anciens du village, il doit sa forme toute tordue à la neige qui, par son poids, fit rompre la partie supérieure du tronc. Après cette pesante épreuve, l’ancêtre reprit sa croissance de plus belle, en changeant de direction, anticipant peut-être d’autres catastrophes. En 2016, il fut désigné arbre de l’année » pour le département de l’Aude à l’issue d’un concours cade Juniperus oxycedrus ou genévrier cade est présent dans les zones méditerranéennes, il est caractéristique de la garrigue provençale et du maquis. Il se plait dans les terres rocailleuses et arides, calcaires et acides. Rustique, l’arbrisseau peut atteindre des hauteurs de 14 mètres mais, généralement, il se contente de dimensions plus fruits sont des baies appréciées pour la fabrication des alcools. Le bois de cade est réputé pour sa dureté et pour être quasiment imputrescible. Il est aussi travaillé en tournerie tournage sur bois qui révèle ses veines. Il est utilisé pour la fabrication des becs de flûte. Le cade exhale un parfum typique et était autrefois utilisé pour ses propriétés cicatrisantes, antiseptiques et désinfectantes. L’huile essentielle de cade est utilisée en aromathérapie.© Georges Feterman, Futura Le châtaignier millénaire du Finistère Le plus gros châtaignier de Bretagne 14 mètres de circonférence se cache sur un terrain de camping, entre Combrit et Pont-Labbé. Il est indispensable de demander l’autorisation des propriétaires du Camping des Châtaigniers pour approcher le colosse. L’aspect déstructuré de ses tissus végétaux et ses dimensions exceptionnelles plaident pour un arbre millénaire. La surprise est de taille en découvrant les jeunes pousses toutes récentes qui s’échappent du tronc tourmenté. Du jeune sur du très vieux, le monde végétal est vraiment incroyable, d’autant plus que le vieux châtaignier continue à fleurir et à produire des châtaignes, après mille ans de bons et loyaux services. Les anciens propriétaires de cette ferme reconvertie racontaient que l’ancêtre avait brûlé à plusieurs reprises, survivant à chaque fois au désastre avec une incroyable capacité de cela fait plus de printemps que ce colosse végétal fleurit ! Estimation faite par dendrochronologie. En France, et probablement dans le monde, on ne connaît pas vraiment de concurrent à ce Castanea sativa, vivant approximativement depuis l’époque de l’empereur Charlemagne, vers l’an 800. Quelle santé ! Au plus fort de sa splendeur, la plus grosse branche mesurait 6 mètres de circonférence. Une petite baisse de régime cependant, avec un tour de taille de 14 mètres aujourd’hui, contre 21 en 1932. Il est difficile de se représenter l’ampleur de sa ramure couvrant une surface de 314 m2 et d’un diamètre d’environ 21 mètres. Son tronc est court, bosselé, craquelé, creusé, brûlé si profondément qu’il a fini par prendre un aspect minéral. Mesurant 16 mètres de haut, il est le dernier survivant de cette châtaigneraie bretonne maintenant disparue qui fut classée, en 1910, Monuments historiques naturels par le président Doumergue. Ses 23 autres congénères furent réduits à l’état de combustible et brûlés durant la seconde guerre mondiale.© Georges Feterman, Futura Le chêne sur son rocher corse Entre le col de Bavella et le village de Solenzara, sur le bord de la D 268, une étrange chimère attire l’attention. Le couple, il faut l’avouer, est insolite ! Un vieux chêne pubescent s’est implanté dans une fissure d’un bloc de granite. Si la racine principale plonge effectivement dans la terre en étirant au maximum sa structure, l’écorce du chêne pluricentenaire s’est adaptée aux circonstances. Elle enveloppe le rocher comme le ferait un escargot géant avec son pied déformable. Ce lien fort entre le roc et les tissus végétaux n’est pas rare en Corse, où les chaos granitiques abondent, mais un tel étirement des tissus végétaux reste exceptionnel, donnant toute son originalité au vieux chêne pubescent Quercus pubescent, de la famille des fagacées, est une espèce qui favorise le développement des truffes. Il peut mesurer entre 10 et 25 mètres de haut. Son feuillage est marcescent, c’est-à-dire que les feuilles mortes ne tombent pas et sont expulsées par les nouvelles. L'existence de poils courts et mous sur leur face inférieure et sur les jeunes rameaux est une adaptation de l'arbre à la sécheresse, il présente d’ailleurs une bonne résistance aux incendies. Parfois appelé chêne blanc de Provence », ce chêne ne se rencontre ni en Bretagne, ni dans les Landes. Il est présent surtout dans l'Europe du Sud et le Moyen-Orient.© Georges Feterman, Futura Les châtaigniers millénaires de la Corse-du-Sud Le village de Zonza est bien connu des randonneurs qui se dirigent vers les sublimes aiguilles de Bavella, autour desquelles on admire d’impressionnants pins Laricio déformés par les vents dominants. De part et d’autre du village, de vieux châtaigniers déploient leur houppier depuis plus de mille ans. Il s’agit certes d’une estimation, mais la circonférence du tronc, plus de 10 mètres, permet de penser qu’il s’agit bien d’arbres millénaires. L’un d’eux se dresse dans une prairie privée ne pas y pénétrer face à l’auberge du Mouflon-d’Or. L’autre se situe en contrebas du village, sur la route de Bavella. Il faut repérer une borne rouge d’incendie, et emprunter le petit chemin qui part sur la gauche de la route. Le choc émotionnel est assuré en découvrant le tronc monumental et ses immenses Castanea sativa, de la famille des Fagacées, est un arbre majestueux, de grande ampleur qui ne fleurit qu’au bout de sa vingtième année. Le châtaignier peut être millénaire. L’Europe est sa zone de répartition ; cette espèce couvre hectares du territoire français. Durable et solide, son bois est utile dans la construction, le chauffage, la menuiserie et l’ébénisterie, il est aussi riche en tanins. Sa floraison est spectaculaire ; ses fruits, les châtaignes, sont comestibles ; raison pour laquelle dans certaines régions, comme les Cévennes, le châtaignier fut appelé arbre à pain » ou pain des pauvres » car ses fruits remplaçaient la farine de céréales. Celle-ci fut longtemps la base de l’alimentation des Corses. Aujourd’hui, cette farine est utilisée pour la confection de pâtisseries et de crêpes. La culture de châtaigniers et de ses fruits s’appelle la castanéïculture. Les châtaignes se dégustent en hiver sous diverses présentations marrons glacés, grillés ou rôtis avec la dinde de Noël.© Georges Feterman, Futura Le pistachier lentisque de la Corse Près d’une vieille bâtisse du joli village de Ghisonaccia, Élise, qui résidait ici depuis quelques années, avait bien repéré quelques branches mortes émergeant d’un sol remblayé par des travaux de terrassement. Poussée par la curiosité, elle fit dégager les remblais en question pour comprendre d’où venaient ces branches. Tel un trésor archéologique, elle venait de découvrir un pistachier lentisque monumental, qui avait survécu malgré l’ensevelissement qu’il avait subi. Le lentisque est plutôt un arbuste du maquis corse, mais celui de Ghisonaccia, avec ses 3 mètres de circonférence, pourrait être millénaire ! Un sacré rescapé, qui échappa ensuite à un incendie, sauvé par les pompiers d’extrême au mastic Pistacia lentiscus L. appartient à la famille des Anacardiacées. C’est un arbuste au feuillage persistant typique de la garrigue provençale et du maquis des climats méditerranéens. La taille de cet arbrisseau varie entre de 3 et 6 mètres. Connu depuis l’antiquité, cet arbrisseau est originaire des régions du sud de l'Europe, de l'Asie et de l'Afrique, régions où son huile est toujours consommée de diverses façons. Si son petit fruit est comestible et apprécié aussi en confiserie, c’est surtout pour sa gomme naturelle, dégageant une forte odeur balsamique, que cet arbre est réputé. Son efficacité thérapeutique, pour certaines affections, est connue depuis longtemps. Presque 200 grammes de résine, jusqu’à 4 kilos pour les plus exceptionnels sujets, sont récoltés par an.© Georges Feterman, Futura Les oliviers du Musée Renoir dans les Alpes-Maritimes Dans le jardin de la villa des Collettes, de vieux oliviers accueillent les visiteurs. Ils font face au musée Auguste-Renoir, installé dans la maison où vécut le maître de 1907 à 1919, année de sa mort. Les oliviers en question inspirèrent Renoir, qui les représenta à plusieurs reprises. Il n’est pas rare de voir aujourd’hui de jeunes artistes exercer leur talent devant les troncs noueux des ancêtres végétaux. Il faut reconnaître que les silhouettes étrangement torturées des vieux arbres attirent le regard et suscitent l’admiration. Leur grand âge, estimé à plusieurs siècles, explique sans doute leurs formes étranges, à moins qu’ils n’aient voulu, par leurs torsions émouvantes, se faire aimer des les dernières années de sa vie, Auguste Renoir souffrait d’insupportables arthroses, qui lui déformaient les doigts et les articulations, comme autant de branches des oliviers. Il travailla ici jusqu’à ses dernières heures, veillé par les vieux oliviers, dont l’âge est estimé à 400 est un arbre fruitier qui, à l’abri du vent, peut mesurer jusqu’à 20 mètres. C’est une sous-espèce de Olea europaea, de la famille des Oléacées. L'olivier sauvage existait au Sahara, il y a environ ans avant notre ère, période à laquelle s’est installé le climat méditerranéen. Sa domestication remonterait à à avant notre ère. Chanté et célébré par les poètes depuis l’Antiquité, l’olivier est un symbole de paix et un arbre sacré dans les religions est aussi symbole de vie et de pérennité… Et pour cause, il peut vivre ans voire, davantage. Il nourrit le corps, le cœur et l’esprit, avec ses olives, son huile et son bois dur qui fait le bonheur des sculpteurs et des ébénistes.© Georges Feterman, Futura Intéressé par ce que vous venez de lire ? Abonnez-vous à la lettre d'information La question de la semaine notre réponse à une question que vous vous posez, forcément. Toutes nos lettres d’information l'essentiel À Oursbelille, Grégory Durdos a repris le flambeau familial et cultive des sapins qui contribueront à la magie des fêtes, sur Tarbes et jusque dans le Pays Toy. Une belle histoire depuis 30 ans. Si leurs aiguilles résistent aux affres de l’hiver, les sapins des Hautes-Pyrénées, qui trônent pourtant dans nos montagnes, sont une espèce peu banale auprès des cheminées bigourdanes. Aussi, rares sont les producteurs locaux à commercialiser leurs arbres pour les festivités. À Oursbelille, dans la plaine tarbaise, après une année blanche suite au décès de son père, Grégory Durdos a repris le flambeau historique. Car ici, le sapin fait partie de la tradition familiale, depuis trente ans maintenant. "Mon père a commencé par acheter des plants qui venaient de Scandinavie, au marché gare à Toulouse, se souvient celui qui met entre parenthèses son activité d’entretien des espaces verts pendant plus d’un mois pour se consacrer aux conifères festifs. Sachant qu’il faut compter dix ans de la plantation à la vente, il lui a fallu une quinzaine d’années avant d’être autonome et de disposer de différentes tailles." Une activité auprès de ses arbres qui ne se cantonne pas aux quelques semaines précédents Noël. "C’est du travail tout au long de l’année entre la plantation, entre 1 000 et 1 500 sapins, plus qu’on en récolte, la taille, le désherbage. Tout est naturel." Mais c’est bien à l’approche des fêtes que l’activité redouble, sur les moins de trois hectares de plantations que se partagent équitablement nordmann et épicéa. "Il faut d’abord abattre des peupliers pour réaliser les socles sur lesquels se dresseront les sapins. Puis il faut couper les sapins, les empaqueter dans de s filets, avant de les redéployer les samedis et dimanches sur la place Marcadieu, pour que les gens puissent les voir sous leurs plus beaux attraits." Car, le public, fidèle, promet de revenir au pied des sapins de la famille Durdos, avec un penchant pour l’épicéa. "C’est un peu le vrai sapin, avec son odeur caractéristique. C’est l’arbre authentique qui pousse naturellement dans nos forêts pyrénéennes, appuie Gregqui en pince pour ses rois des forêts. Quand tu fais ça depuis tes10 ans, je ne me voyais pas ne pas reprendre. Il y a un enracinement. C’est très sentimental et très beau de contribuer à la magie de Noël." Une féerie alimentée dans les foyers pyrénéens mais aussi sur la place des villages de l’agglomération, dans les églises tarbaises mais jusque dans les vallées du Pays Toy où trônent les arbres les plus majestueux, hauts de plus de 6 mètres. "Les gens croient qu’ils poussent dans la montagne, mais non, ils viennent de la plaine d’Oursbelille. C’est à croire qu’ils poussent mieux ici", sourit Greg, qui ira voir comment ses arbres égayent ensuite Luz-Saint-Sauveur ou Esquièze-Sère. Et le producteur de s’émerveiller, comme un enfant "Cette magie de Noël, je suis heureux d’en faire partie. C’est sûr que c’est pour gagner ma vie, mais quand on voit le bonheur qu’on apporte aux gens, les sourires, surtout en cette période troublée, on n’a surtout pas envie que ça s’arrête !" Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme Le sapin fait partie de cette famille d'arbres — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies. Tant attendues par les petits comme les grands, les fêtes de fin d'année génèrent toujours autant d'impatience que d'instants de bonheur. Les sapins de Noël font alors partie du décor...Le sapin...Petite histoire du sapin de NoëlLe sapin de Noël c'est plus de 500 ans de tradition ! 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