le plus grand nombre dans une élection

Leplus grand nombre des voix ou des suffrages, qui fonde la prise de décision ou l'élection : L'emporter avec une large majorité. Contraire : minorité. 3. Groupe qui a obtenu ces suffrages ; parti ou coalition de partis détenant le plus grand nombre de sièges dans une assemblée : Appartenir à la majorité. Contraire : opposition. 4. 348 c'est le nombre de sénateurs qui composent le Sénat.Depuis la réforme constitutionnelle de 2008, ce nombre est inscrit à l'article 24 de la Constitution. 28 septembre: les élections sénatoriales auront lieu le 28 septembre 2014 (Décret n° 2014-532 du 26 mai 2014 portant convocation des collèges électoraux pour l'élection des sénateurs et décret n° 2014-533 du 26 Attentionà cette vidéo. AFP, publié le mercredi 24 août 2022 à 18h30. La vidéo d'une opération chirurgicale montrant l'extraction d'un caillot de sang est partagée sur les réseaux Dansle cas où, pour l’attribution d’un siège, les candidatures de liste ont la même moyenne, le siège est attribué à la liste qui a recueilli le plus grand nombre de voix. Si plusieurs de ces listes ont obtenu le même nombre de voix, alors le siège est attribué à l’une d’entre elles par voie de tirage au sort. Cette dernière CanadaLes libéraux remportent le plus grand nombre de et potentiellement imposer une nouvelle élection — ou donner aux conservateurs l’occasion de former le gouvernement. Dans ce cas nonton true to love sub indo bioskopkeren. Élections législatives 2022 Avec 46,23 %, la participation est au plus bas au second tour des législatives. Cette forte abstention a ses zones de confort, ses réservoirs de voix et ses profils de votants Read in English Article réservé aux abonnés Comme en 2017, l’abstention confirme son rang de vainqueure des élections législatives. Avant même les multiples déconvenues de la coalition comme le triomphe surprise du Rassemblement national RN et la percée en demi-teinte de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale Nupes, la participation, qui s’élève au second tour à 46,23 % des inscrits, continue d’obérer scrutin après scrutin la portée de ces élections pourtant déterminantes pour la politique nationale. Lire aussi Législatives 2022 - Emmanuel Macron recevra, mardi et mercredi, les représentants des forces politiques qui ont vocation à former un groupe à l’Assemblée revivez la journée du 20 juin L’abstention a aussi ses zones de confort, ses réservoirs de voix et ses profils de votants. C’est presque une habitude dans les territoires d’outre-mer, Saint-Barthélemy est le département où on a le moins voté au second tour, avec 75,44 % d’abstention. En métropole, c’est la Seine-Saint-Denis qui a déserté le plus les urnes, avec 63,39 % d’abstention. La Lozère, un des départements les plus ancrés dans sa tradition civique, arrive à abaisser la tendance avec une abstention qui plafonne à 40,78 %. Dans l’archipel de Wallis-et-Futuna, l’abstention n’atteint que 21,54 % des inscrits. Les élections législatives de 2017 avaient entraîné un renouvellement sans précédent de l’Hémicycle. Pas moins de 434 nouveaux élus avaient fait leur entrée au Palais-Bourbon. Le brassage est de moindre ampleur à l’issue de ce scrutin mais se situe néanmoins dans les hautes eaux, puisque ce sont 302 nouveaux visages avec lesquels les agents de l’Assemblée nationale – et les journalistes parlementaires – vont devoir apprendre à se familiariser. Logique du vote utile Le plus gros contingent de ces néophytes est fourni par le RN, qui en compte 84, pour un total de 89 élus. La France insoumise LFI est la deuxième pourvoyeuse, avec 62 nouveaux entrants pour un total de 75 élus. Nombre de primo-candidats avaient été investis par La République en marche LRM 47 d’entre eux devaient, dès lundi 20 juin, prendre possession de la mallette contenant les insignes de leur fonction. Ils rejoignent ainsi leurs 107 collègues réélus. A l’inverse, 99 députés sortants se représentant ont été battus. Le plus grand nombre se trouve évidemment chez LRM, dont 73 sortants ont perdu. De même que 9 représentants du MoDem et 5 sortants investis sous les couleurs d’Horizons. Au total, 87 députés de la majorité présidentielle n’ont pas été reconduits. Bien que le parti Les Républicains LR ait fortement bénéficié de l’implantation territoriale de ses candidats, 7 d’entre eux passent quand même à la trappe. A noter que, pour 11 de ces sortants non réélus, le résultat s’est joué à moins de 1 % des suffrages et, pour 16 autres, à moins de 2 %. De faibles écarts de voix qui pourraient entraîner un nombre significatif de recours. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Objectifs Nous rappelons que l'ECJS ne constitue pas une discipline à part entière, mais davantage une démarche de réflexion que tu dois mobiliser dans le cadre de tes cours. Les fiches proposées ici, sur le site, ont pour objectif de te fournir les connaissances nécessaires à cette réflexion et te permettre de mettre en œuvre ces connaissances pour maîtriser les débats et les travaux demandés dans ce cours. Le vote constitue la pierre angulaire de la démocratie représentative. À la fois rituel citoyen et mode de sélection des candidats à l’élection qui conduit au mandat politique, le fonctionnement du vote est très largement déterminé par le mode de scrutin. Le mode de scrutin peut être défini comme le mécanisme permettant de désigner les élus et repose sur le choix d’un principe de décompte des voix permettant l’attribution des sièges et mandats. Deux grandes modes de scrutin existent, le scrutin majoritaire et le scrutin proportionnel. Il existe une multitude de variantes pour chacun de ces modes de scrutin, et ce d’autant plus qu’il est possible de croiser ces deux modes. Il est donc possible de présenter une typologie de ces modes de scrutin. Cependant malgré leur apparence technique, les modes de scrutin jouent un rôle déterminant dans la vie politique et dans le champ du pouvoir. En effet, choisir un certain mode de scrutin détermine pour une large part les stratégies politiques des candidats, la légitimité de ceux qui sont élus, l’organisation des élections, le nombre de partis politiques, et voir même le résultat de l’élection et le comportement des électeurs en influençant pour une part la façon dont ils se prononcent. 1. Typologie des modes de scrutin a. Les deux grands modes de scrutin scrutin majoritaire vs scrutin proportionnel Le scrutin majoritaire repose sur un principe simple, en apparence le candidat à l’élection qui a le plus grand nombre de voix est élu. Le candidat élu le sera soit à la majorité absolue des suffrages exprimés, c’est-à-dire qu’il dispose de plus de 50% des voix, soit à la majorité relative, son score est plus élevé de tous les autres candidats. Ce scrutin peut porter sur la désignation d’un seul candidat, il s’agit alors d’un scrutin majoritaire uninominal lorsqu’il n’y a qu’un seul siège à pourvoir. La figure type de ce type de scrutin est l’élection présidentielle française. Il peut aussi être plurinominal lorsqu’il y a plusieurs sièges à pourvoir. Le scrutin majoritaire peut se dérouler sur un seul tour, ci qui est le cas des élections à la Chambre des communes britannique, le candidat qui l’emporte est celui qui obtient le plus de voix dans ce seul et unique tour. Le scrutin majoritaire peut aussi être à deux tours. Le premier tour sert à éliminer les candidats ayant le moins de voix pour ne conserver que les candidats qui ont franchi un certain seuil. Cette modalité du scrutin majoritaire est utilisée pour les élections législatives françaises servant à désigner les députés à l’Assemblée nationale. Pour ce scrutin, le seuil minimum de maintien au second tour correspond à 12,5% des électeurs inscrits sur les listes électorales. Le deuxième tour n’a lieu que si au premier tour aucun des candidats n’a atteint la majorité absolue des suffrages exprimés et qu’ils se trouvent donc en situation de ballotage. Le scrutin proportionnel consiste à attribuer à chaque parti une représentation sensiblement proportionnée en fonction de son importance électorale réelle. Le scrutin proportionnel est le plus souvent un scrutin de liste utilisé pour choisir les représentants au sein d’une assemblée exerçant des fonctions législatives. Il existe deux types de liste les listes fermées et les listes ouvertes. Dans les deux cas, chaque parti présente autant de candidats qu’il y a de sièges à pourvoir. Dans le cas de la liste fermée, les candidats et l’ordre des candidats sur la liste ne peuvent être changés. Dans le cas de liste ouverte, les électeurs peuvent soit changer l’ordre des candidats sur la liste, soit ajouter ou supprimer des candidats sur la liste. Dans le cas de la liste ouverte, les électeurs peuvent décider de placer sur la liste des candidats de toutes les listes selon le principe du panachage. L’attribution du nombre de sièges en fonction du résultat obtenu dépend de la modalité qui a été choisie pour calculer la répartition. Dans le cas de la représentation proportionnelle intégrale, un quotient électoral est déterminé en divisant le nombre de suffrages exprimés par le nombre de siège à attribuer. Chaque liste reçoit autant de sièges qu’elle a obtenu de fois ce quotient. Afin de limiter l’influence des petites organisations politiques et d’éviter la fragmentation de l’assemblée en une multitude de composantes politiques, un seuil minimum de suffrages exprimés est souvent fixé 5% pour les élections municipales. La représentation proportionnelle approchée repose sur le fait que le quotient électoral puisse être supérieur au total des voix obtenues par les listes, ou qu’il subsiste de nombreux sièges à pourvoir après la première répartition en raison d’un nombre de suffrages exprimés peu élevé. La question porte alors de savoir comment répartir les sièges non attribués à la proportionnelle intégrale. Pour simplifier, deux méthodes existent pour déterminer cette deuxième répartition. La première technique, celle du plus fort reste, consiste, après retrait des voix correspondant aux sièges attribués à la proportionnelle intégrale, à attribuer les postes restants aux listes disposant du nombre de suffrages exprimés restant le plus important. La deuxième technique, à la plus forte moyenne, consiste à attribuer dans un premier temps les sièges avec le quotient, puis les sièges restant sont attribués aux listes en fonction de leur moyenne. La moyenne est calculée en divisant le nombre total de voix obtenues par chaque liste par le nombre de sièges de quotient déjà attribués plus un siège dit fictif ». Les sièges restants sont ainsi attribués dans l'ordre décroissant de la moyenne. b. Les modes scrutin alternatifs comment compenser les défauts des deux grands modes de scrutin Afin de compenser les inconvénients des deux grands modes de scrutin, il est possible d’introduire des mécanismes qui en réduisent les effets pervers. Dans le cas du mode de scrutin majoritaire, le vote alternatif ou préférentiel réunit les deux tours de vote en un seul. Chaque électeur choisit un candidat et classe les autres candidats par ordre de préférence. Pour obtenir le siège, les candidats doivent obtenir une majorité absolue de voix. Si aucun des candidats n’obtient cette majorité absolue, alors le candidat qui a reçu le moins de premiers choix est éliminé et les deuxièmes choix inscrits sur ses bulletins de vote sont attribués aux candidats restants. On procède ainsi jusqu’à ce que l’un des candidats obtienne la majorité absolue. Le système majoritaire peut aussi être amendé en introduisant une certaine dose de proportionnelle, ce qui est le cas pour les élections municipales. Cela permet de dégager une majorité municipale qui disposera d’une certaine stabilité au sein du conseil municipal, assemblée délibérante qui vote les décisions qui seront mises en œuvre par l’exécutif à la tête duquel se trouve le maire, et en même temps de permettre aux différents partis et courants politiques d’être représentés. La question de la représentation constitue souvent une justification déterminante pour l’introduction d’une certaine dose de proportionnelle dans les démocraties représentatives. 2. Les influences des modes de scrutin sur la vie politique Maurice Duverger dans son ouvrage Les partis politiques 1951 met en évidence que l’influence des modes de scrutin sur le système politique peut se résumer à trois lois - la représentation proportionnelle tend à un système de partis multiples, rigides et indépendants et stables. - la représentation majoritaire uninominale à deux tours conduit à l’existence d’un système de partis multiples, souples, dépendants et relativement stables. - le scrutin majoritaire uninominal à un tour renforce la dualité politique entre deux grands partis indépendants. Il faut cependant prendre avec précaution l’importance de modes de scrutin sur le système politique, ils ne sont pas les seuls facteurs d’explications de leur architecture. a. Les modes de scrutin déterminent pour une part les stratégies politiques et le paysage électoral Les modes de scrutin exercent une influence importante sur le paysage politique. L’introduction du suffrage proportionnel par exemple a tendance à ouvrir l’espace politique à un plus grand nombre de partis que le suffrage majoritaire. L’introduction en 1986 d’une dose de proportionnelle aux élections législatives a permis à certains partis politiques d’être représenter à l’Assemblée nationale. À l’inverse, le scrutin majoritaire a ainsi tendance à cristalliser l’opposition entre deux grandes formations politiques et conduit les partis majoritaire à rechercher des alliances avec les partis politiques de moindre importance, et cela quelle que soit la tendance politique. La représentation politique des différentes tendances présentes dans la société semble faire les frais du scrutin majoritaire. Le scrutin majoritaire à la différence du scrutin proportionnel permet en revanche de dégager une majorité plus stable et fournit les moyens au pouvoir exécutif de mener à bien son programme. Le scrutin majoritaire a tendance à accentuer la personnalisation des élections, conduisant même les candidats à s’émanciper progressivement de la tutelle de leur organisation politique. Une des manifestations les plus flagrantes de ce processus a sûrement lieu avec l’élection présidentielle en France où le futur président fait souvent campagne avec son parti dans un premier temps, puis cherche à s’en émanciper dans un deuxième temps. Si le scrutin majoritaire favorise donc les logiques d’affrontements, le scrutin proportionnel en revanche renvoie à des logiques de coopération et de recherche de consensus politiques. Les systèmes politiques dans lesquels domine une représentation proportionnelle conduisent les organisations politiques à mettre en place un système de partage du pouvoir et les élections ne servent plus à déterminer les orientations politiques sinon à vérifier l’importance politique et la représentativité de chaque organisation ainsi que le poids qu’elle a dans la prise de décision collective. Il faut cependant nuancer cette idée car le système proportionnel n’empêche en aucune façon l’opposition de deux camps politiques dans une logique bi-partisane. b. Les modes de scrutin conditionnent les résultats électoraux et le comportement des électeurs Le scrutin majoritaire en concentrant l’affrontement politique autour de deux pôles, éliminent du paysage politique les organisations de moyenne et faible importance. Une élection au scrutin majoritaire uninominal à deux tours comme l’élection présidentielle, avec une certaine dispersion de l’électorat au premier tour entre de nombreux partis politiques, donne lieu au second tour à un rassemblement autour de deux grands pôles politiques afin de fédérer le vote des électeurs. Le choix des électeurs doit alors se porter au second tour sur le candidat qui déplait le moins », et favorise d’autant le rôle de l’affect dans la décision de vote. La logique majoritaire à l’œuvre sous la Ve République a aussi très fortement tendance à renforcer la position majoritaire au cours des autres élections élections législatives comme 2007 et 2012 pour le parti politique qui gagne l’élection présidentielle. Le risque d’une telle architecture électorale est que les électeurs puissent éprouver des difficultés à se reconnaître forcément dans un candidat sur les deux présents au second tour, et que par ailleurs une fois l’élection présidentielle terminée, le niveau de l’abstention électorale soit de nouveau important au risque d’une perte de légitimité pour la formation politique qui remporte les élections sur une faible base politique. Le scrutin majoritaire par ailleurs renforce les pratiques du vote utile de la part des électeurs. L’électeur proche d’une organisation politique minoritaire reporte plus facilement son vote sur une grande formation afin d’éviter que sa voix ne soit perdue. Ce vote utile manifeste la volonté de rejet d’un candidat par une partie des électeurs lors des élections. L’électeur ne partage pas forcément les positions du candidat pour lequel il vote, mais il souhaite surtout que l’autre candidat n’arrive pas au pouvoir. Le second tour en France de 2002 à l’élection présidentielle entre Jacques Chirac et Jean-Marie Lepen, est à ce sujet particulièrement symptomatique. L'essentiel Les modes de scrutin font l'objet d'une réflexion toute particulière dans les démocraties représentatives. En effet, le système de décompte des voix déterminent l'architecture du système électoral et exerce une influence importante sur l'organisation des élections et le paysage politique. Il existe deux grands mode de scrutin, le scrutin majoritaire et le scrutin proportionnel. Le premier fonctionne sur le principe de la majorité absolue ou relative. Le second est quant à lui basé sur l'attribution des sièges en fonction du poids de chaque candidat ou organisation dans les voix exprimées. Il existe des modes de scrutin alternatifs qui permettent de compenser les défauts des deux grands systèmes. Le scrutin préférentiel et le scrutin majoritaire avec une certaine dose de proportionnel tentent de conjuguer les avantages des deux grands systèmes de vote. Les modes de scrutin exercent une influence non négligeable sur le paysage politique et les comportements électoraux. Les stratégies politiques des partis et candidats sont orientées par le mode de scrutin. Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours ! Denis Coderre veut rendre Montréal plus propre. S’il est élu, le candidat à la mairie promet de bonifier le nombre de poubelles et de cendriers publics, éliminer les dépôts sauvages et les graffitis dans les heures suivant leur signalement et adopter un plan pour contrôler la présence des rats dans la métropole. Mis à jour le 22 sept. 2021 Henri Ouellette-Vézina La Presse Aujourd’hui, on se promène et on voit des détritus partout », a déploré Denis Coderre. Pour remédier à ce laisser-aller, nous voulons créer un fonds qui viendra soutenir les arrondissements dans leur mission de propreté », a renchéri Emilia Tamko, candidate au poste de conseillère de la Ville dans le district de Maisonneuve-Longue-Pointe. Ce fonds permettra entre autres de bonifier le nombre de poubelles fermées dans l’ensemble des parcs et des artères principales, ainsi que d’augmenter le rythme des collectes dans les parcs durant la période estivale. L’équipe d’Ensemble Montréal souhaite augmenter la fréquence des brigades de propreté dans l’ensemble des 19 arrondissements et le nombre de cendriers publics pour diminuer le nombre de mégots jetés au sol. Le parti créerait également un système de ramassage des encombrants sur demande, en s’inspirant du modèle déjà en place à Paris. On appelle 311 et après, la Ville s’adapte aux besoins des citoyens », a indiqué Daniel Vaudrin, candidat au poste de conseiller de la Ville dans le district de Sainte-Marie. M. Coderre souhaite aussi retirer les dépôts sauvages moins de 48 heures après leur repérage et effacer dans un délai de 24 heures les graffitis à caractère haineux. Enfin, il adoptera un plan pour contrôler la présence des rats à Montréal. Les chantiers contribuent à la prolifération de ces rongeurs. Ensemble Montréal mettra en place une procédure de dératisation systématique pendant la durée complète des travaux impliquant l’ouverture du système d’égouts. Une campagne sera aussi déployée afin de sensibiliser les Montréalais aux règles d’hygiène dans les lieux publics et les encourager à déclarer toute présence de rats à la Ville afin de mieux documenter la problématique. M. Coderre a dit que la ville est dangereuse et maintenant, la ville est sale. Je n’accepterai pas cette vision défaitiste de Montréal », a réagi la mairesse de Montréal, Valérie Plante, en fin d’avant-midi mercredi. Est-ce qu’il y a matière à amélioration pour la propreté ? Bien évidemment », a-t-elle renchéri. Mme Plante a rappelé que de nombreuses mesures ont été mises en place pendant son mandat, notamment des escouades propreté dans certains arrondissements. On prend ça très au sérieux », a-t-elle affirmé. Le vote se cristallise » Le tout survient alors qu’un sondage Léger-Le Devoir révélait mercredi que Denis Coderre et Valérie Plante sont au coude-à-coude, alors que s’entame véritablement la campagne municipale avec la fin de la campagne fédérale. M. Coderre récolte 37 % des voix dans la métropole, pendant que Mme Plante en obtient 36 %. Le chef de Mouvement Montréal, Balarama Holness, recueille 8 % des appuis, suivi par le chef de Ralliement pour Montréal, Marc-Antoine Desjardins, avec 5 % des votes. Environ 14 % des électeurs sont indécis. En mai, M. Coderre et Mme Plante totalisaient respectivement 39 % et 29 % des intentions de vote, selon un sondage Léger-Le Journal de Montréal. Un sondage réalisé pour Projet Montréal en juillet montrait déjà que la mairesse sortante effectuait une remontée avec 34 % des voix, contre 37 % pour Denis Coderre. Questionné à ce sujet mercredi, Denis Coderre s’est dit nullement inquiété par la remontée de Projet Montréal dans les chiffres. J’avais vu un sondage où j’avais 29 %, je suis rendu à 37 %. Je pense que ce qui est important, c’est que le défi de tous est de faire voter le monde », a-t-il dit. L’exercice s’annonce difficile, selon lui, surtout dans une deuxième élection » en quelques mois. Il y a quand même 33 % des gens seulement qui pensent que cette administration-là doit rester. C’est un enjeu comme tel. On ne vote pas pour l’opposition, on défait le gouvernement », a aussi insisté M. Coderre, en réitérant qu’il ne prend rien pour acquis ». Je remarque aussi qu’il y a peu d’indécis. Ça veut dire que déjà, le vote se cristallise », a-t-il aussi fait valoir. Le chef d’Ensemble Montréal a par ailleurs rappelé avoir gagné avec 32 % en 2013 alors qu’il y avait cinq candidats sur la ligne de départ. On était presque majoritaires. Maintenant, il y des changements. Là, ça va être un bilan par rapport à l’autre, ça ne sera pas un référendum sur des personnalités », a-t-il soulevé. Le fait que 48 % des jeunes Montréalais de 18 à 35 ans semblent préférer Valérie Plante n’inquiète pas non plus M. Coderre, dont le parti rejoint traditionnellement les plus âgés et les arrondissements périphériques. Ça veut dire qu’il faut parler aux gens et qu’il ont différentes sensibilités par rapport à leurs besoins. Notre défi, notre rôle, notre responsabilité en fait, c’est de s’assurer qu’on puisse bien les définir », a-t-il dit. Voici la liste des 46 premiers présidents des États-Unis d'Amérique, avec la date de leur première entrée en fonction et leur âge à ce moment-là en moyenne 55 ans. On notera leur jeunesse relative douze présidents sur 46 ont été élus à 60 ans ou plus dont les deux derniers mais treize à 50 ans ou moins ! Les présidents le plus âgés sont les deux derniers Donald Trump 70 ans et Joe Biden 78 ans. Ils sont en bonne compagnie avec la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, née en 1940. Les présidents des États-Unis d'Amérique 1er 30 avril 1789 George Washington 57 ansRiche planteur et député de Virginie, il devient commandant en chef des troupes indépendantistes en 1775. Charismatique, il est élu et réélu président sans difficulté. Sous sa présidence sont créées une banque d'État et une monnaie stable, le dollar. Mais il est dissuadé de se présenter une nouvelle fois en raison d'un début d'impopularité et des tensions au sein de son cabinet entre les fédéralistes partisans d'un État fort, groupés derrière Alexander Hamilton, et les républicains-démocrates groupés derrière Thomas Jefferson et James Madison. 2 4 mars 1797 John Adams 61 ansCet avocat fédéraliste plutôt terne figure parmi les acteurs de la guerre d'indépendance et les rédacteurs de la Constitution. Il est né au Massachusetts et non en Virginie comme les autres présidents du jeune État. Avant de devenir président, il a été vice-président et également ambassadeur des États-Unis auprès du roi George III. L'élection présidentielle l'oppose au brillant Jefferson, partisan d'une plus grande décentralisation, et à une dizaine d'autres candidats. Les grands électeurs s'étant divisés autour de treize candidats suivant des logiques géographiques, il obtient trois voix de plus que le Sudiste Jefferson. Il devient président et Jefferson vice-président. La présidence d'Adams est marquée en 1798 par une quasi-guerre avec la France révolutionnaire. Adams fait voter des lois d'exception à l'encontre des étrangers, au grand mécontentement des républicains-démocrates qui se mobilisent aux élections suivantes pour faire élire leur champion. Après lui, aucun fédéraliste n'accèdera plus à la présidence et le parti disparaîtra de lui-même. 3 4 mars 1801 Thomas Jefferson 57 ansL'auteur principal de la Déclaration d'Indépendance est aussi le chef de file du parti républicain-démocrate, anti-fédéraliste, rousseauiste et pacifiste. Avec lui débute l'ère des bons sentiments », marquée par une vie politique apaisée. L'opposition entre républicains et fédéralistes s'estompe, ces derniers contribuant par nécessité au renforcement de l'État central. Sous sa présidence, les États-Unis s'agrandissent de la Louisiane, achetée à la France. Un beau jour pour mourir Les présidents John Adams et Thomas Jefferson meurent le même jour, le 4 juillet 1826, 50e anniversaire de la déclaration d'indépendance. On dit que les derniers mots de Jefferson furent pour s'en informer Is't the Fourth ? » Sommes-nous bien le 4-Juillet ?.Le 5e président, James Monroe, disciple de Thomas Jefferson, meurt quant à lui cinq ans plus tard, le 4 juillet 1831 également le jour de la fête nationale. 4 4 mars 1809 James Madison 57 ansFils d'un riche planteur virginien comme Washington et Jefferson, il participe avec Hamilton à la rédaction de la Constitution. Ami du président Jefferson, il est choisi par le caucus républicain-démocrate comme candidat à sa succession en 1808. Sur les instances du Congrès, auquel il doit son élection, le président Madison déclare la guerre à l'Angleterreen juin 1812. Cette seconde guerre d'indépendance » serait le seul exemple connu de guerre entre deux démocraties... Disciple de Jefferson, James Madison continue à l'intérieur la politique des bons sentiments. 5 4 mars 1817 James Monroe 58 ansOriginaire de Virginie comme ses prédécesseurs sauf Adams, avocat comme les trois précédents, il a été ambassadeur en France comme Adams et Jefferson. Il est désigné par le caucus républicain-démocrate du Congrès le roi caucus » pour succéder à Madison à la Maison Blanche. Le Secrétaire d'État John Quincy Adams définit la politique extérieure du pays pour le siècle à venir les États-Unis n'interviendront pas dans les affaires européennes et considèreront toute intervention européenne sur le continent américain comme une menace à leur sécurité. Elle reste connue sous le nom de doctrine Monroe » en trois mots l'Amérique aux Américains !6 4 mars 1825 John Quincy Adams 57 ansLe fils du deuxième président des États-Unis est désigné par la Chambre des représentants suite à une élection embrouillée unique cas de ce genre qui oppose entre eux plusieurs représentants du parti républicain-démocrate. Andrew Jackson obtient le plus grand nombre de voix mais, faute d'une majorité absolue de grands électeurs, il doit céder la place au candidat désigné par le Congrès !Il s'ensuit la division du parti républicain-démocrate entre le parti démocrate et le parti national républicain et la fin de l'ère des bons sentiments ». 7 4 mars 1829 Andrew Jackson 61 ansGénéral populaire, héros des précédentes guerres, né en Caroline, c'est le premier président issu du peuple et le premier à ne pas avoir participé à la guerre d'Indépendance. Il rénove le parti républicain démocrate et inaugure le spoils system ou partage des dépouilles », qui consiste à changer le personnel politique après chaque de Tocqueville visite l'Amérique avec son ami Gustave de Beaumont pendant la présidence de 4 mars 1837 Martin Van Buren 54 ansRenonçant à se représenter, Andrew Jackson suggère au parti démocrate de désigner son vice-président Martin Van Buren pour lui succéder. Fils de fermiers néerlandais, c'est le premier président né après l'indépendance. C'est aussi, jusqu'à l'élection de Lincoln, le premier d'une longue série de présidents effacés dont aucun n'effectue plus d'un mandat. 9 4 mars 1841 William Harry Harrison 68 ansAvec ce vieux général que ses partisans surnomment affectueusement Tippecanoe », le parti whig remporte pour la première fois les présidentielles. Mais Harrison a eu l'imprudence de prononcer dans un froid glacial un discours d'investiture de deux heures un record !. Il est victime d'une pneumonie un mois après son entrée en fonction.† 4 avril 1841 Premier président dont le mandat est brutalement interrompu, il est remplacé au pied levé par le vice-président John Tyler qui, sans attendre une décision du Congrès, se rend à la Maison Blanche et prête serment. Ce précédent sera entériné en 1867 par le 15e amendement à la Constitution. 10 6 avril 1841 John Tyler 51 ansSous sa courte présidence, Tyler soutient le droit des États du sud à pratiquer l'esclavage, ce qui le coupe du parti whig et conduit à la démission de son gouvernement. 11 4 mars 1845 James Knox Polk 49 ansGrâce au soutien d'Andrew Jackson et bien qu'inconnu en-dehors du Tennessee, le démocrate James Polk se fait élire face au whig Henry Clay. C'est la première fois qu'un parti regagne la Maison Blanche après l'avoir perdue. L'alternance s'enracine dans les moeurs politiques. Expansionniste, James Polk obtient du Congrès l'annexion du Texas, négocie à l'avantage des États-Unis la frontière du Nord-Ouest avec le Canada britannique, puis engage une guerre inique contre le Mexique. Conclue par le traité de Guadalupe Hidalgo, elle vaut aux États-Unis d'immenses agrandissements au Sud-Ouest Californie, Nouveau-Mexique.... 12 5 mars 1849 Zachary Taylor 64 ansLe général Taylor a mené la guerre contre le Mexique. Candidat du parti whig, il laisse l'initiative au Congrès. Deuxième président à mourir en fonction, il disparaît alors que le débat fait rage pour déterminer si les nouveaux États du Sud doivent pouvoir rester esclavagistes. Lui-même était prêt à maintenir la cohésion de l'Union par la force.† 9 juillet 1850 13 10 juillet 1850 Millard Fillmore 50 ansVice-président devenu président de transition, Fillmore édicte un compromis boiteux sur l'esclavage qui lui vaut l'hostilité de son propre parti, le parti whig. 14 4 mars 1853 Franklin Pierce 48 ansLe débat sur l'esclavage prend un tour violent et passionnel, avec le Kansas-Nebraska Act à l'initiative du président Pierce un whig et du sénateur Stephen A. Douglas un démocrate, le Congrès autorise le Kansas et le Nebraska à se prononcer sur la légalité de l'esclavage. Il s'ensuit l'explosion du parti whig. Lui succède l'actuel parti républicain, qui préconise l'abolition de l'esclavage. Le nouveau parti, protectionniste et anti-esclavagiste, est surtout représenté dans le Nord. 15 4 mars 1857 James Buchanan 65 ansAncien fédéraliste, il rallie le parti démocrate et l'emporte sur le candidat républicain. Le parti whig est marginalisé et le pays s'installe dans le bipartisme que nous connaissons encore aujourd'hui. Président soucieux de la paix civile à tout prix, James Buchanan ne fait rien pour tempérer les revendications des États esclavagistes du Sud. Lorsque son successeur est élu le 6 novembre 1860 et que la Caroline du Sud fait sécession le 20 décembre suivant, le président, devenu un canard boiteux », s'interdit toute initiative en attendant l'investiture officielle de Lincoln le 4 mars 1861. Pendant ces douze longues semaines, la situation va considérablement se tendre et rendre la guerre civile quasi-inévitable. 16 4 mars 1861 Abraham Lincoln 51 ansÉlu avec seulement 40% des voix grâce à la division du camp adverse un record, il conduit avec détermination la guerre contre le Sud sécessionniste. Commandant en chef, il prend d'emblée des initiatives martiales sans requérir l'approbation du Congrès. Celui-ci entérinera ses décisions beaucoup plus tard. Premier président à être réélu depuis Andrew Jackson, il est aussi le premier à mourir assassiné et ne peut mener à bien la réconciliation nationale après la victoire. Publié ou mis à jour le 2021-01-25 175459 Après la démission d'Anne Grignon de son poste de députée, une nouvelle élection législative partielle se tiendra les 2 et 9 octobre dans la 2e circonscription des Yvelines. Par Alexandre Marque Publié le 18 Août 22 à 1023 Les électeurs de la 2e circonscription des Yvelines devront revoter les 2 et 9 octobre à l’occasion d’une élection législative partielle. © d’illustrationL’annonce n’a pas tardé à tomber. Quelques jours seulement après la démission d’Anne Grignon de son poste de députée de la 2e circonscription des Yvelines, les dates de l’élection législative partielle sont tombées au Journal officiel. Les électeurs devront retourner aux urnes les 2 et 9 octobre 19 juin dernier, Jean-Noël Barrot Modem était réélu député de la circonscription avec 64,27 %. Nommé ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications le 4 juillet, il avait alors démissionné de son poste de député comme le prévoit la loi sur le non cumul des à un recours devant le Conseil constitutionnelSa remplaçante, Anne-Grignon, maire de Lévis-Saint-Nom, avait pris sa suite un mois plus tard, le 4 août. Mais l’élue a démissionné une semaine plus tard suite à un recours déposé par le proche d’un candidat battu au 1er tour devant le Conseil de Jean-Noël Barrot à l’Assemblée nationale, Anne Grignon était déjà remplaçante de Martin Lévrier LREM au Sénat depuis 2017. Un cas interdit par le Code du nouveau scrutin, Jean-Noël Barrot devrait être de nouveau candidat pour la majorité présidentielle. Son adversaire malheureuse au second tour, Maïté Carrive-Bédouani Nupes, devrait, elle aussi, être de la partie comme elle l’annonce sur sa page Facebook."Je suis prête avec Hughes Orsolin son remplaçant et notre équipe pour les élections législatives partielles. Je me battrai pour une vraie écologie et une vraie justice sociale à l'Assemblée nationale !"Les demandes d’inscription sur les listes électorales doivent être déposées au plus tard le vendredi 26 août. Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre 78actu dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.

le plus grand nombre dans une élection